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mercredi 8 janvier 2014
vendredi 11 juin 2010
Les thérapie médicamenteuses en psychiatrie
Les antidépresseurs
Certains antidépresseurs sont dits psychostimulants. Ils sont très appréciés des malades pour leur effet euphorisant, mais ils ont souvent l’inconvénient de provoquer des dépendances.
La plupart d’entre eux appartiennent à deux grandes classes chimiques : les tricycliques, les plus actifs, mais moins bien tolérés, et les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS) qui sont actuellement de loin les plus utilisés, car leurs effets secondaires sont modérés.
Conduite du traitement :
Attention, le début de l’action antidépressive est retardé, de une à deux semaines environ.
Les traitements doivent être prolongés pendant 6 mois au moins, pour prévenir des rechutes. On ne changera de médicament qu’après deux mois. Et pour un médicament de mode d’action différent.
Indications principales :
Les plus fréquentes indications sont les états dépressifs réactionnels sur fond de névrose et les états dépressifs graves dits mélancoliques, qui imposent l’hospitalisation.
Les tranquillisants
Les tranquillisants appartiennent à deux classes, selon leurs effets :
* Les anxiolytiques qui réduisent le niveau de l’anxiété sous toutes ses formes
* Les sédatifs, qui calment l’agitation et portent au sommeil.
On les distingue encore selon leur rapidité et leur durée d’action qui peut aller de 5 à 30 heures.
Indications : tous les états anxieux : les crises d’angoisse, les attaques de panique, l’anxiété généralisée, les troubles phobiques, les troubles obsessionnels compulsifs.
Effets indésirables :
Ce sont des troubles de la mémoire, mais surtout des états de dépendance, qui imposent une prescription à durée déterminée, et un sevrage progressif.
La diminution du tonus musculaire fait craindre des chutes chez les personnes âgées.
Les hypnotiques
Les hypnotiques induisent au sommeil pour des durées plus ou moins longues. On utilise aujourd’hui surtout des benzodiazépines, à effet hypnotique dominant. Les effets indésirables sont identiques à ceux des tranquillisants.
Les neuroleptiques
Les neuroleptiques s’adressent aux psychoses. Ils ont bouleversé le traitement de cette atteinte, permettant notamment la réinsertion dans le tissu social des malades.
On distingue maintenant 3 types d’action parmi leurs nombreuses classes chimiques :
*L’effet sédatif, réservé aux états d’agitation ;
*L’effet antipsychotique, réservé aux délires et hallucinations ;
*L’effet désinhibiteur.
Effets indésirables :
Etats d’indifférence, syndromes de type parkinsonien (tremblements) , contractures, impatiences.
Les derniers neuroleptiques en date, dits atypiques, sont mieux tolérés et plus actifs sur les états déficitaires.
Tous ces médicaments sont très utiles et permettent aux malades et aux familles de franchir des périodes difficiles, mais ils ne dispensent pas de thérapeutiques non médicamenteuses, et de cures psychothérapeutiques, qui permettent notamment d’éviter les rechutes.
Dr Jean-Paul Relizere
Sources
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Certains antidépresseurs sont dits psychostimulants. Ils sont très appréciés des malades pour leur effet euphorisant, mais ils ont souvent l’inconvénient de provoquer des dépendances.
La plupart d’entre eux appartiennent à deux grandes classes chimiques : les tricycliques, les plus actifs, mais moins bien tolérés, et les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS) qui sont actuellement de loin les plus utilisés, car leurs effets secondaires sont modérés.
Conduite du traitement :
Attention, le début de l’action antidépressive est retardé, de une à deux semaines environ.
Les traitements doivent être prolongés pendant 6 mois au moins, pour prévenir des rechutes. On ne changera de médicament qu’après deux mois. Et pour un médicament de mode d’action différent.
Indications principales :
Les plus fréquentes indications sont les états dépressifs réactionnels sur fond de névrose et les états dépressifs graves dits mélancoliques, qui imposent l’hospitalisation.
Les tranquillisants
Les tranquillisants appartiennent à deux classes, selon leurs effets :
* Les anxiolytiques qui réduisent le niveau de l’anxiété sous toutes ses formes
* Les sédatifs, qui calment l’agitation et portent au sommeil.
On les distingue encore selon leur rapidité et leur durée d’action qui peut aller de 5 à 30 heures.
Indications : tous les états anxieux : les crises d’angoisse, les attaques de panique, l’anxiété généralisée, les troubles phobiques, les troubles obsessionnels compulsifs.
Effets indésirables :
Ce sont des troubles de la mémoire, mais surtout des états de dépendance, qui imposent une prescription à durée déterminée, et un sevrage progressif.
La diminution du tonus musculaire fait craindre des chutes chez les personnes âgées.
Les hypnotiques
Les hypnotiques induisent au sommeil pour des durées plus ou moins longues. On utilise aujourd’hui surtout des benzodiazépines, à effet hypnotique dominant. Les effets indésirables sont identiques à ceux des tranquillisants.
Les neuroleptiques
Les neuroleptiques s’adressent aux psychoses. Ils ont bouleversé le traitement de cette atteinte, permettant notamment la réinsertion dans le tissu social des malades.
On distingue maintenant 3 types d’action parmi leurs nombreuses classes chimiques :
*L’effet sédatif, réservé aux états d’agitation ;
*L’effet antipsychotique, réservé aux délires et hallucinations ;
*L’effet désinhibiteur.
Effets indésirables :
Etats d’indifférence, syndromes de type parkinsonien (tremblements) , contractures, impatiences.
Les derniers neuroleptiques en date, dits atypiques, sont mieux tolérés et plus actifs sur les états déficitaires.
Tous ces médicaments sont très utiles et permettent aux malades et aux familles de franchir des périodes difficiles, mais ils ne dispensent pas de thérapeutiques non médicamenteuses, et de cures psychothérapeutiques, qui permettent notamment d’éviter les rechutes.
Dr Jean-Paul Relizere
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lundi 7 juin 2010
Lancement d’un nouveau site d’information sur les maisons de retraite
Un site pour choisir une maison de retraite
Vous recherchez un hébergement en maison de retraite pour une personne âgée ? Nous avons conçu ce site pour que vous puissiez y trouver les informations pratiques et les conseils pour vous aider à faire le bon choix. En France, on compte aujourd’hui plus de 10 000 maisons de retraite. Elles assurent l’accueil des personnes âgées, dépendantes ou pas, de plus de 60 ans qui ne veulent plus ou ne peuvent plus vivre seules à leur domicile.
Un guide en ligne pour répondre à vos questions
Nous avons réalisé ce guide pour vous aider à comprendre ce que recouvrent les termes d'USLD, d'EHPAD, de Foyers logement, de résidence services ou tout simplement de maison de retraite, et pour vous donner également des informations sur les conditions d'admissions, les tarifs, les alternatives possibles ...
Un annuaire en ligne pour trouver une maison de retraite
Le site "maison de retraite" vous donne gratuitement accès à notre annuaire national et aux descriptifs des maisons de retraite partout en France. Vous pourrez directement les contacter via un formulaire en ligne.
Des actualités pour mieux comprendre les évolutions des maisons de retraite
Au moment où soi-même ou un de ses proches s'engage dans une nouvelle étape de sa vie, il est important de disposer d'une information actualisée et rigoureuse.
Nous nous sommes associés à notre partenaire AgeVillage pour mettre à votre disposition une sélection hebdomadaire de leurs articles traitant des maisons de retraite, des conditions de vie des personnes âgées, du 5ème risque ...
Lien vers Leur site
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Un annuaire en ligne pour trouver une maison de retraite
Le site "maison de retraite" vous donne gratuitement accès à notre annuaire national et aux descriptifs des maisons de retraite partout en France. Vous pourrez directement les contacter via un formulaire en ligne.
Des actualités pour mieux comprendre les évolutions des maisons de retraite
Au moment où soi-même ou un de ses proches s'engage dans une nouvelle étape de sa vie, il est important de disposer d'une information actualisée et rigoureuse.
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dimanche 23 mai 2010
Mettre en contact les SDF et les organismes de santé
Le constat est clair : la santé n'est pas la priorité des sans domicile fixe (SDF). Un problème alarmant contre lequel veut lutter Béthel Hébergement. Jeudi, le foyer organisait ainsi un forum intitulé « Ta santé, c'est le pied ». ...
Au centre d'hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) du boulevard Gambetta, Jean-Matthieu Roupain accueille les adhérents du centre pour les guider vers les différents stands santé. L'objectif de cet éducateur spécialisé ? « Mettre en contact les SDF et les organismes de santé ».
Car le bilan est clair après ce rude et long hiver : la santé n'est plus (et n'a probablement jamais été) une priorité pour les sans domicile fixe. Un fait devenu inacceptable. Alors les partenaires de la santé se mobilisent pour faire évoluer les choses. Centre d'alcoologie de Tourcoing, centres médico-psychologiques, association Réagir, CISS, service de prévention de santé du conseil général... tout le monde se retrouve pour inciter ces acteurs de la précarité à se tourner vers des organismes de santé. Car se soigner n'est plus un luxe, c'est une nécessité. Marie Decancq, membre du centre de prévention de santé du conseil général, est présente sur le forum depuis sa création il y a trois ans. Pour elle, cette manifestation est l'occasion de rencontrer les autres partenaires de santé. Mais surtout d'orienter les SDF vers des organismes spécialisés. « Notre but est généraliste. Nous aidons dans les démarches, accompagnons les volontaires dans leur suivi médical. Et le cas échéant, nous les redirigeons vers des organismes plus spécialisés ».
Chacun fait de son mieux pour que les SDF se sentent en confiance, n'aient plus peur de pousser les portes d'un organisme de santé. Une méthode visiblement efficace puisque, à la suite du forum de l'an dernier, treize bilans médicaux étaient effectués. Un nombre significatif, symbole de l'engagement de Béthel pour la santé des SDF. • V. F.
Sources
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Au centre d'hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) du boulevard Gambetta, Jean-Matthieu Roupain accueille les adhérents du centre pour les guider vers les différents stands santé. L'objectif de cet éducateur spécialisé ? « Mettre en contact les SDF et les organismes de santé ».
Car le bilan est clair après ce rude et long hiver : la santé n'est plus (et n'a probablement jamais été) une priorité pour les sans domicile fixe. Un fait devenu inacceptable. Alors les partenaires de la santé se mobilisent pour faire évoluer les choses. Centre d'alcoologie de Tourcoing, centres médico-psychologiques, association Réagir, CISS, service de prévention de santé du conseil général... tout le monde se retrouve pour inciter ces acteurs de la précarité à se tourner vers des organismes de santé. Car se soigner n'est plus un luxe, c'est une nécessité. Marie Decancq, membre du centre de prévention de santé du conseil général, est présente sur le forum depuis sa création il y a trois ans. Pour elle, cette manifestation est l'occasion de rencontrer les autres partenaires de santé. Mais surtout d'orienter les SDF vers des organismes spécialisés. « Notre but est généraliste. Nous aidons dans les démarches, accompagnons les volontaires dans leur suivi médical. Et le cas échéant, nous les redirigeons vers des organismes plus spécialisés ».
Chacun fait de son mieux pour que les SDF se sentent en confiance, n'aient plus peur de pousser les portes d'un organisme de santé. Une méthode visiblement efficace puisque, à la suite du forum de l'an dernier, treize bilans médicaux étaient effectués. Un nombre significatif, symbole de l'engagement de Béthel pour la santé des SDF. • V. F.
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jeudi 20 mai 2010
Tenter de dire l'indicible...
J'ai reçu par email ce témoignage, je le partage tel que je l'ai reçu.
Je ne pourrais prétendre à écrire un article mais je peux m'y essayer ....
Ayant travaillé durant une quinzaine d'années dans différentes structures (SIOE, Hôpital de jour ou auprès d'adultes handicapés), je pouvais être "fier" de mon métier d'éducateur spécialisé. Un réelle volonté commune d'effectuer un travail de qualité, une remise en cause ou un questionnement en équipe sur la réalité du travail effectué, des administrateurs et des directeurs ouverts et proches des équipes éducatives.
Bref, quelque chose qui semble presque du passé ....
Un déménagement, alors que j'avais dépassé la quarantaine, m'a amené à "prendre" un poste en internat avec des enfants présentant des troubles du comportement et, ou, une déficience intellectuelle dans un IME.
Je tairais le nom de l'association qui gère une dizaine d'établissement en France dont trois ou quatre dans l'ouest.
Le premier choc à été la vétusté des locaux (dortoirs d'une trentaine de lits, etc...)
Mais là ... c'est une histoire de budget, les choses ont changées...
Puis, les chocs se sont succédés (effet kiss pas cool).
-Le DIRECTEUR qui, peut-être, prenait du plaisir à insulter des membres de son équipe en réunion, en fonction de son humeur... (Il était mal venu de discuter, réfléchir sur ce qu'il venait de décréter).
-Le même DIRECTEUR qui n'hésitait pas à hurler en reprochant je ne sais quoi à un éducateur devant les jeunes (j'ai vu des collègues pleurer, devant tant de reproches bien souvent non fondés).
Je ne pourrais prétendre à écrire un article mais je peux m'y essayer ....
Ayant travaillé durant une quinzaine d'années dans différentes structures (SIOE, Hôpital de jour ou auprès d'adultes handicapés), je pouvais être "fier" de mon métier d'éducateur spécialisé. Un réelle volonté commune d'effectuer un travail de qualité, une remise en cause ou un questionnement en équipe sur la réalité du travail effectué, des administrateurs et des directeurs ouverts et proches des équipes éducatives.
Bref, quelque chose qui semble presque du passé ....
Un déménagement, alors que j'avais dépassé la quarantaine, m'a amené à "prendre" un poste en internat avec des enfants présentant des troubles du comportement et, ou, une déficience intellectuelle dans un IME.
Je tairais le nom de l'association qui gère une dizaine d'établissement en France dont trois ou quatre dans l'ouest.
Le premier choc à été la vétusté des locaux (dortoirs d'une trentaine de lits, etc...)
Mais là ... c'est une histoire de budget, les choses ont changées...
Puis, les chocs se sont succédés (effet kiss pas cool).
-Le DIRECTEUR qui, peut-être, prenait du plaisir à insulter des membres de son équipe en réunion, en fonction de son humeur... (Il était mal venu de discuter, réfléchir sur ce qu'il venait de décréter).
-Le même DIRECTEUR qui n'hésitait pas à hurler en reprochant je ne sais quoi à un éducateur devant les jeunes (j'ai vu des collègues pleurer, devant tant de reproches bien souvent non fondés).
lundi 10 mai 2010
Le gouvernement, pris dans la spirale de ses propres erreurs, fait le malheur des étudiants en travail social
La mise en place par le gouvernement il y a près de trois ans (les ministres ont beaucoup changé depuis) de la « gratification des stages » dans les formations du secteur social de niveau III, a été catastrophique pour les futurs éducateurs de jeunes enfants (EJE), éducateurs spécialisés (ES) et assistants de service social (AS). Ces filières formant les travailleurs sociaux (trois années après le bac) comptent environ 61 000 étudiants.
Bien sûr, il était tout à fait légitime que dans certains secteurs comme le commerce, les banques, la communication, l’édition, etc., les « stagiaires » soient rémunérés (en fait, ils travaillaient réellement et gratuitement, ce qui était absolument scandaleux). Bien sûr il est également légitime d’aider les étudiants, quelle que soit leur formation, qu’ils soient en stage ou en cours, par des bourses plus nombreuses et plus conséquentes (on constate une précarité croissante des étudiants).
Les stages constituent une part importante du cursus des formations dans le secteur social (1500 heures de cours et 60 semaines de stage, par exemple pour les EJE). Il s’agit de formations professionnelles au cours desquelles les liens entre la formation théorique et les pratiques sur les terrains sont importants et extrêmement utiles dans la construction de l’identité professionnelle de ces étudiants (ce qui ne sera malheureusement pas le cas, par exemple, pour les professeurs des écoles, qui n’avaient déjà pas beaucoup de stages et qui aujourd’hui n’en plus…).
Mais la « gratification des stages » (417 euros par mois pour les stages de plus de trois mois depuis 2008, et de plus de deux mois depuis 2009 y compris dans la fonction publique) pour les étudiants dans le secteur social a pour conséquences :
1) Une confusion dans la perception du statut du stagiaire, qui se voit contraint d’occuper une position et des responsabilités similaires à un statut de salarié. Le « stagiaire » n’a plus la possibilité, par exemple,
Bien sûr, il était tout à fait légitime que dans certains secteurs comme le commerce, les banques, la communication, l’édition, etc., les « stagiaires » soient rémunérés (en fait, ils travaillaient réellement et gratuitement, ce qui était absolument scandaleux). Bien sûr il est également légitime d’aider les étudiants, quelle que soit leur formation, qu’ils soient en stage ou en cours, par des bourses plus nombreuses et plus conséquentes (on constate une précarité croissante des étudiants).
Les stages constituent une part importante du cursus des formations dans le secteur social (1500 heures de cours et 60 semaines de stage, par exemple pour les EJE). Il s’agit de formations professionnelles au cours desquelles les liens entre la formation théorique et les pratiques sur les terrains sont importants et extrêmement utiles dans la construction de l’identité professionnelle de ces étudiants (ce qui ne sera malheureusement pas le cas, par exemple, pour les professeurs des écoles, qui n’avaient déjà pas beaucoup de stages et qui aujourd’hui n’en plus…).
Mais la « gratification des stages » (417 euros par mois pour les stages de plus de trois mois depuis 2008, et de plus de deux mois depuis 2009 y compris dans la fonction publique) pour les étudiants dans le secteur social a pour conséquences :
1) Une confusion dans la perception du statut du stagiaire, qui se voit contraint d’occuper une position et des responsabilités similaires à un statut de salarié. Le « stagiaire » n’a plus la possibilité, par exemple,
samedi 8 mai 2010
Lien: Association pour la Sauvegarde de l'enfance et l'Adolescence
Aujourd'hui découverte d'une association pour la Sauvegarde de l'enfance et l'Adolescence.
Leur présentation:
L' Association s'engage à proposer aux jeunes en difficulté et à leurs familles, des dispositifs variés d'éducation spécialisée, de soins.
L'organisation associative, composée de membres de la société civile et de professionnels est conçue pour mettre en œuvre cet engagement : un Conseil d'Administration, des services du Siège, des établissements et services.
Les personnes concernées:
* Jeunes en difficulté d’intégration sociale, scolaire ou professionnelle.
* Mineurs et majeurs de moins de 21 ans relevant de la Protection de l’Enfance.
* Mineurs en danger, confiés par la justice.
* Enfants présentant des troubles du comportement ou de la personnalité.
* Adultes sans formation professionnelle et en insertion sociale.
Découvrez le site de l'ASEA
Visitez aussi leur bibliothèque de liens, on peut trouver beaucoup de chose utiles en tant qu'éducateur.
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Leur présentation:
L' Association s'engage à proposer aux jeunes en difficulté et à leurs familles, des dispositifs variés d'éducation spécialisée, de soins.
L'organisation associative, composée de membres de la société civile et de professionnels est conçue pour mettre en œuvre cet engagement : un Conseil d'Administration, des services du Siège, des établissements et services.
Les personnes concernées:
* Jeunes en difficulté d’intégration sociale, scolaire ou professionnelle.
* Mineurs et majeurs de moins de 21 ans relevant de la Protection de l’Enfance.
* Mineurs en danger, confiés par la justice.
* Enfants présentant des troubles du comportement ou de la personnalité.
* Adultes sans formation professionnelle et en insertion sociale.
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